Alors que la Seconde main entre de plus en plus dans nos habitudes de consommation, acheter neuf devient has been. Selon une étude américaine, en 2028, le marché de la seconde main pourrait même largement dépasser celui de la fast-fashion.
Au-delà de l’aspect environnemental et écologique qui est une des premières valeurs des adeptes de la fripe, nous pouvons également nous demander si un vêtement qui a été porté et qui a du vécu n’a-t-il pas plus de valeur qu’un vêtement produit à l’infini que l’on peut voir partout ?
En 15 ans le marché a littéralement explosé notamment grâce à des plateformes en ligne telle que Vinted, Vestiaire Collectifs, mais aussi des dizaines de boutiques qui se sont ouvertes dans les centres villes proposant des vêtements de seconde main !
L’objectif pour vous, dénicher THE article à bas coût que vous n’auriez pas pu vous offrir autrement !
Le prêt-à-porter, si commun désormais, s’efface devant l’attrait vintage du « déjà porté ». Outre l’aspect ludique et l’intérêt économique de cette manière de consommer, certains témoignent d’une véritable passion pour l’objet d’occasion en lui-même.
Cependant, certains restent réfractaires au vintage et à la fripe, associant l’usure du vêtement à la souillure. Ils sont rebutés par l’idée qu’un autre corps ait pu se glisser dans le vêtement.
“Reproductible à l’infini, vendu dans le monde entier, un produit neuf n’a pas de lieu.”
La force ultime du seconde main reste ses valeurs qu’elle véhicule construisant ainsi des communautés à travers le monde. En s’engageant à consommer 2nd main nous nous engageons à respecter davantage la planète en diminuant son empreinte carbone, en limitant sa production de déchets !
La 2nd main compte de plus en plus d’adeptes dans une ère où l’économie est tendue et où le pouvoir d’achat diminue sans cesse, elle permet un complément de revenu indéniable allant d’une trentaine d’euros pour les plus jeunes à des centaines d’euros par mois pour les actifs !